mercredi, juillet 25, 2007










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11 commentaires:

Brigetoun a dit…

ils sont merveilleux tes arbres et tu prends si bien les jeux de la lumière sur leurs rides, ais y a-t-il dans ton environnement des jeunes troncs lisses?
?

Anonyme a dit…

Il vit, ce géant des collines !
Mais avant de paraître au jour,
Il se creuse avec ses racines
Des fondements comme une tour.
Il sait quelle lutte s'apprête,
Et qu'il doit contre la tempête
Chercher sous la terre un appui;
Il sait que l'ouragan sonore
L'attend au jour !..,
...
Sa racine fertilisée
Grossit comme une eau dans son cours,
Et dans son coeur qu'il fortifie
Circule un sang ivre de vie
Pour qui les siècles sont des jours !

Alphonse de Lamartine


Deux photos magnifiques!!!

Anonyme a dit…

Merveilleux le premier arbre, avec ces troncs qui s'entrelacent et ces racines à moitié dénudées. Je le préfère au second, car il donne une impression de force et de maturité. Mais de quelle essence s'agit-il ?

Pas a pas a dit…

bonjour
un cedre?
peu importe toujours une magnifique photo
patrick

Anonyme a dit…

Il n'y a que les ifs pour se tordre ainsi en compassion.

Unknown a dit…

Un amour si magique du ~ I d'arbre comment vous avez capturé sa beauté !

Karo Lego a dit…

La sensualité se lit dans les racines et sur l'écorce de cet arbre... la vie s'y dessine. Très belles photos.
Comme toujours ;)

Anonyme a dit…

le 1er arbre est absolument magnifique!



PS: as-tu essayé finalement à nouveau le thé japonais?

Mélanie a dit…

Ces photos de tronc et de racines sont superbes .
je suis désolée , mes commentaires sont un peu plats mais j'avoue que je reste sans mots devant tant de beauté .
Mélanie xx
P. S : puis je ajouter un lien vers votre site , j'aimerais tant partager ça avec les autres bloggers

Anonyme a dit…

des images splendided, à rever! merci jean!

Dalva M. Ferreira a dit…

Mon bon Jean: je pense que tu savez un peau de Espagnol? Devant de ces images je me souvient Pablo Neruda, et les vers:

"Apegada a mis brazos como una enredadera
las hojas recogían tu voz lenta y en calma.
Hoguera de estupor en que mi sed ardía.
Dulce jacinto azul torcido sobre mi alma."